voici revenu le temps des jours sombres, où les monstres aux masques de chair fraîche s'échappent des cauchemars.
Aucune peur n'est interdite
Droguées de contes de fées, des jeunes filles faméliques épousent des Gnomes de jardin.le réel se délabre
dans le ciel brillent des verrues
la lune est un œil mort
et tombent sur nous des pluies de morsures
toujours
en quête de poèmes magiques
nous fuyons le Dragon
***
il y a peut-être quelque part un dieu qui nous aime
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