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Ces jours derniers, en m'escrimant à noircir du papier, je songeais avec une amicale tendresse à Robert Louis Stevenson et ses célèbres Brownies. Ce fabuleux conteur ( L'ïle au trésor, l'étrange cas du docteur Jekyll et Mr Hyde) révèle dans " un chapitre sur les rêves" qu'il profitait de la complicité de ses lutins familiers pour écrire ses histoires.
A dire le vrai, j'étais un tantinet jaloux. Au regard de ses Brownies, mes Foultots ne me semblaient pas aussi doués pour me souffler de bonnes idées...
3 commentaires:
j'ai toujours trouvé troublant de toute façon que tu puisses avoir ces facilités à écrire et à conter, ... seul ... ;)
Bises à tes muses à moustache.
et toi c'est des Djinns qui crayonnent ton prochain album ?
oui, c'est d'ailleurs pénible parce qu'ils sont petits et nombreux. Ils affectionnent particulièrement les dedans de manche. Et quand j'époussette mes planches de quelques revers de mains, il faut toujours y revenir histoire de se débarrasser de ceux qui en tombent.
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